Les contemporaines de Sainte Jeanne de Chantal écrivent :
« La dévotion et révérence que cette Bienheureuse Mère avait au très-saint Sacrement de l’autel ne se pourrait exprimer ; elle portait toujours en écrit sur soi une action de grâces à Notre-Seigneur, de l’avoir admise à la participation journalière de son très-saint corps. »
Et en écrivant à une maîtresse de novices lui conseillait
« Que les novices fassent souvent des considérations à l’entour de ce très-Saint Sacrement, afin qu’à l’imitation de ce bon Sauveur, elles apprennent à s’anéantir totalement, et à vouloir vivre cachées comme il est caché. »