« Il m’a aimé, Il s’est livré pour moi » (Ga. 2,20)
Qui étais-je lorsque je n’étais pas ? Dieu, dès l’abîme de son éternité, pensait pour moi des pensées de bénédictions, il méditait et déterminait l’heure de ma naissance, de mon baptême, de toutes les inspirations qu’Il me donnerait, et en somme tous les bienfaits qu’l me ferait et offrirait. Y a-t-il une douceur pareille à cette douceur !
Saint François de Sales